Rédigé le jeudi 28 août
matin :
Un transport de Discovery Rodrigues vient chercher Marsel qui part, sans moi, pour l'ilot cocos en espérant que cette fois-ci, il pourra photographier les oiseaux de la réserve "interdite" aux simples mortels.
Avec Fred, je vais à Port Mathurin chercher le ciment, dans l'enceinte du port. Il arrive par conteneurs et voitures et camions sont filtrés à l'entrée ce qui explique les files d'attente lorsque le bateau vient juste d'arriver. Aujourd'hui, nous passons très rapidement, de plus, le port a fait l'acquisition d'un monte-charge pour les 50 kg que font les sacs de ciment. Dur, dur, le métier de porteur ! Nous prenons aussi dans une boutique une demi-douzaine de sacs de maïs et de céréales pour volailles. Fred m'apprend alors qu'il s'est sans doute fait une déchirure ou une élongation musculaire en portant les troncs de palmiers qui ont servi à la décoration de la cérémonie d'ordination. Le médecin lui a recommandé de ne pas porter de charges lourdes !
De retour à Jean Tac, je transporte les sacs et je prépare les coffrages pour faire le track-road que nous allons enfin pouvoir finir dans l'après-midi.
Des tracks road, il y en a partout à Rodrigues, sous divers formes.
Ils permettent l'accès à des endroits qui sont très difficilement accessible en cas de pluie.
Ils permettent l'accès à des endroits qui sont très difficilement accessible en cas de pluie.
après-midi :
Marsel revient le soir, avec une tête où se lit la déception et le découragement devant l'incompétence humaine. Il n'a pas pu aller dans la partie réservée aux non touristes car la même personne qui lui a délivrée la fameuse autorisation lui apprend, une fois sur l'îlot Cocos, qu'il aurait dû demander, en plus, de surcroît et nonobstant, une autorisation au ministère de l'agriculture qui gère cette partie de l'îlot ! Sans commentaire !
1 commentaire:
En définitif ; l'administration, et tous ses fonctionnaires, est identique sur l'ensemble de notre belle planète !!!!!
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