mardi 15 juillet :
matin :
Comme tous les mardis, c'est travail de journalisme pour Benoît qui m'avait proposé et qui accepte, après lecture, de faire paraître mon dernier poème "Rodrigues" dans la Vie Catholique mauricienne.
Nous retournons à l'Alliance française pour récupérer les verres et les plats ayant servi pour la réception et pour les rendre à la Résidence.
après-midi :
C'est répétitif et cela commence à me gaver, comme le disent si bien les d'jeunss’ dans leur langage littéraire et imagé, c'est encore la pose des nouveaux tuyaux du jardin qui va occuper mon après-midi. Malgré mes prévisions et malgré le bon avancement de la tâche, je ne finirai pas encore ce soir.
Je précise qu'il est inutile de commenter que, de toute façon, pour savoir quand je terminerai mon travail, il faut multiplier le temps de mes prévisions par trois. Lorsque j'ai essayé, dans un souci de précisions prévisionnelles, de faire ce genre d'exercice, je n'ai réussi qu'à multiplier par neuf la durée du temps que j'aurai dû mettre habituellement.
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1 commentaire:
Multiplier par trois tes prévisions... Qui, si je comprends tout bien, sont déjà neuf fois plus importantes que le temps nécessaire que tu juge nécesssaire. Donc ; tu vas mettre vingt-sept fois plus de temps que celui nécessaire. Si, admettons, que pour ce genre de travaille (pénible, compliqué, pointu, ect...) le temps raisonnable est d'une semaine ? Sept jours multipliés par vingt-sept... Cela doit nous donner très exactement : cent quatre-vingt neuf jours. Plus de six mois ! Evelyne ; commences-tu à comprendre certains retards ? Marcello populo, tu devrais travailler avec dame Boutin. Cela expliquerait l'avancement, si peu rapide, des logements sociaux prévus et promis. Bon courage tout de même et continues à nous faire rêver.
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