Ce matin 8 juin 8 h00
Coup de téléphone d'Antoinette et de Benoît Jolicoeur.
Ils reviennent de l'aéroport de Plaine Corail à Rodrigues pour aller m'accueillir à la descente d'avion, mais je n'y suis pas et pour cause...
Les messages qu'a envoyés Evelyne sur MSN n'ont pas dû être bien passés ou ont été mal interprétés : ils m'attendaient aujourd'hui au lieu de mardi prochain. Benoît a été voir au renseignements et a eu confirmation de mon arrivée pour ce jour-là !
ké zafair ! ça safair là !
Cela fait deux fois que ce "don d'ubiquité" m'arrive à Maurice et Rodrigues.
La première fois c'est lorsqu'un douanier de Maurice a frisé la crise d'apoplexie alors que, à la radio de "Matinal Rodrigues", il entendait que Monsieur Marcel Rousseau était bien arrivé à Rodrigues. Il venait la veille de m'interdire d'y aller et de se présenter dans ses bureaux le matin même parce qu'il trouvait que mes papiers n'étaient pas en règle. J'avais eu le malheur d'y indiquer que je venais faire une formation à Rodrigues, mais il ne voulait pas prendre en compte les papiers que m'avait remis Jean Noël Samoisy, le responsable du Crac Anti Drug Group de Rodrigues. Jean Noël, persuadé que je serais là, avait fait passé l'annonce sans vérifier que j'étais bien arrivé.
J'ai ainsi passé 3 jours de plus à Maurice chez mon ami Marsel Poinen qui heureusement est connu "comme le loup blanc" là-bas. Je raconterai peut-être en détail cette aventure un peu rocambolesque, mais pour le moment je termine mes valises.
Les sacro-saints camemberts et le vin rouge sont déjà emballés. Benoît vient d'indiquer de nouveau que c'était son principal souhait.
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